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Qualité des disques de frein
Dans le marché d'aujourd'hui, il devient de plus en plus difficile de convaincre les techniciens des
avantages d'employer l'équivalent d'équipement d'origine ou des disques de frein de
première qualité, mais voici quelques faits dont vous devez tenir compte.
Les propriétés métallurgiques d'un disque déterminent sa force.
Le risque de bruit, l'usure et les caractéristiques de freinage. Le processus de moulage est soigneusement
contrôlé en produisant un disque de haute qualité. Le taux auquel le fer rafraîchit dans le moule (terreau)
doit être étroitement contrôlé pour réaliser la force de tension adéquate, la dureté
et la microstructure. Comme le fer rafraîchit, les atomes carboniques qui y sont mélangées forme des
flocons de graphite, qui aide à refroidir et diminuer le bruit. Si le fer rafraîchit trop rapidement les particules
de graphite n'ont pas le temps de se former et sont beaucoup plus petits, ce qui occasionne un disque plus bruyant.
Les disques mieux refroidit emploient davantage de carbone pour former de grands flocons, qui absorbent une plus grande
vibration.
Le taux de rafraîchissement affecte aussi la dureté du disque. Si un disque est trop dur il augmentera l'usure
des plaquettes et le risque de bruit. Des disques plus durs vont aussi forcer un stress thermique. Des disques moins
durs usent rapidement et se déformeront plus rapidement et créeront une impulsion dans la pédale
de frein.
La composition du fer dans un disque de première qualité est étroitement contrôlée pendant
le processus de moulage pour ne pas laisser entrer d'impuretés qui peuvent former des taches (spot). On
verse le métal fondu à travers des filtres céramiques pour prendre au piège des polluants. Le
sable qui est employé pour former le moule (terreau) est particulièrement traité pour contrôler
l'humidité. Cela aide à empêcher des changements fondamentaux, en maintenant la porosité, l'exactitude
dimensionnelle et l'équilibre.
Vous n'obtiendrez pas la qualité d'un bon freinage avec un disque de grade "économique".
Denis Bérubé
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